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La calvaire est sans aucun doute le empreinte identitaire religieux le plus employé dans l’histoire de l’humanité. Elle est autant présente dans le Christianisme que dans certaines organisations occultes. Sa présence en un endroit traduit l’existence d’un source, d’une église, d’une cathédrale… On peut également la rechercher à l’entrée des cimetières, sur les tombeaux de nos disparus ou sur la peau des personnes qui en on fait un signe de prestance. Bien que sa signification dans le christianisme se réfère à la crucifixion de Jésus Christ, ce personnalité n’a été aborde dans le catholicisme que 3 siècles après sa mort. Rappelons avant de continuer que la tau ne nait pas avec le Église encore moins avec le coté macabre de Jésus Christ.
L’histoire de la croix remonte bien avant l’arrivée de Christ ici-bas. Mais ce sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour adopter les gens. La tué était attachée à la croix par des cordes, ou ses mains y étaient clouées, et on le laissait négliger. Même avec la chaleur du soleil, la tirage du corps et la peine que la tué avait endurée avant d’être crucifiement, il lui fallait parfois 15 jours pour choir. ce sont le plus souvent les chrétiens qui commencèrent à utiliser une crucifix comme marque identitaire de la chrétienté et toutes les fois que l’évangile est hissé, ceux qui entendent le message et reçoivent Christ comme Sauveur arrivent à Lui par la foi, par le procédé pour la crucifix.
La calvaire patriarcale est une façon de tau chrétien acquéreur la caractéristique d’avoir une supplémentaire. Si vous ne voyez pas de ce dont nous parlons, ce collier avec une calvaire patriarcale vous en tend un excellent exemple Il existe plusieurs hypothèses qui s’efforcent d’explique le sens de cet élément. L’une des avis beaucoup appréciés est que mr. l’aspergeur souveraine, qui se situe également sur différentes tau dont nous parlerons bientôt, génère la plaque qui fut cloué supériorité de Jésus lorsqu’il fut crucifié. Il s’y présentait de ce fait l’inscription : « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ».
La reconnaissance chrétien est une foi copte oriental qui s’est séparée de la déclaration copte occidentale ( pesette ), ou chrétien, il y a dans la zone mille ans. Les normales sont estimés à proche de 200 grandeur dans le milieu professionnel, en privé en Grèce, en Roumanie, en Bulgarie, en ex Yougoslavie et particulièrement en ex URSS où ils représentent 50%. Le terme « fidèle » vient du grec ortos ( orthos ) qui signifie droit, juste et doxa ( doxa ) qui signifie exemple, projet. Donc cela signifie la véritable doctrine. Il fut employé pour désigner les Églises demeurées dans le respect de la certitude des premiers conciles œcuméniques.
La crucifix est ce qu’il y a de plus populaire : elle est présente dans tous les symboles ( chiffres, lettres, étoiles, figures géométriques ), réalisations, produits, tissus, constructions et représentations. La croix est l’un des quatre symboles fondamentaux avec le centre, le club et le cube : elle établit une relation entre les trois autres. En réalité, la croix et sa apportent quantième au symbolisme le plus riche et le plus démesuré. Elle est une forme d’art commun pour tous les hommes. Pourtant, la signification poche de la crucifix s’est perdue. Or nous allons voir que la croix porte en elle la totalité des choses de l’esprit et de cette thématique.
Si sa forme s’est étendu au fil des siècles, le chrisme est constitué dès le début de l’alliance de deux lettres du grec antique superposées. La première ressemble à un X ( chi ), tandis que la seconde se rapproche d’un P ( rhô ). De cette réunion résulte un identité qui se présente tels une soleil à six fours dont la branche reine aurait été ornée d’une accroche-cÅ“ur. Plus tard, le chrisme s’est simplifié jusqu’à devenir une classique planète inscrite sur un club : il s’agit ainsi d’une roue à six fours , symbole de l’unité et du lien établi par la croyance entre les exubérants et le religieux. Au fait, pourquoi parle-t-on fréquemment de « marque du Christ » ? Les deux lettres qui composent le chrisme sont les premières du mot grec Khristos qui désigne rédempteur. En grec ancien, le terme désigne ce qui est médiéval et ce qui a obtenu l’onction. Il proposera vie au terme christus en latin, qui donnera à son tour Christ en français contemporaine. Dans l’est de l’Europe, le chrisme est parfois représenté sur une version enrichie des deux lettres dieu ( première et ultime lettre de l’alphabet athénien ) qui symbolisent le commencement et la fin. On sait ainsi pourquoi le chrisme est un empreinte identitaire baptisé de premier plan : sa présence convoque immédiatement celle du Christ et consacre un perfection à celui ou celles qui le porte.
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